Au commencement, presque rien : une prairie artificielle de dactyle, une haie régulièrement massacrée, de rares insectes, sans doute des « mulots », mais ni oiseaux ni reptiles en résidence.
Et puis ils sont arrivés, rares ou pléthoriques, suivant l’abondance du gîte et de la pitance, la présence des prédateurs, les variations météorologiques…
La présentation suit un ordre moyennement logique, inspirée d’une classification scientifique simplifiée à outrance. Je commence par les invertébrés, de loin les plus nombreux (insectes, arachnides, gastéropodes), et suivront les vertébrés (amphibiens, mammifères, oiseaux, reptiles).
Le cynips du rosier (Diplolepis rosae Linnaeus, 1758) pond dans les branches de l’églantier, provoquant l’apparition d’une galle hirsute, le bédégar. A droite, après la chute des « poils », on distingue les alvéoles qu’occupaient les larves
Demi-deuil (Melanargia galathea Linnaeus, 1758)
Elateridae
Empis marqueté (Empis tessellata Fabricius, 1794)
Ephippigère carénée (uromenus rugosicollis), une sauterelle aptère
Eristale des buissons (Eristalis arbustorum Linnaeus, 1758)
Tarier pâtre (Saxicola rubicola Linnaeus, 1766) : niche au sol, dans les hautes herbes de prairies épargnées par la fauche. Ce que lui offre le Landassou ! Ici un mâle.
Troglodyte mignon (Troglodytes troglodytes Linnaeus, 1758), farouche et rapide, donc difficile à capturer !
Reptiles :
Couleuvre verte et jaune (Hierophis viridiflavus Lacépède, 1789)
Lézard des murailles (Podarcis muralis Laurenti, 1768)
Lézard vert occidental (Lacerta bilineata Daudin, 1802)
Forêt-jardin du Landassou 